BERNARD DEVIC, maire de Caves
"Après l’exposition, remarquée, organisée en 2014, ce livret complète l’histoire de notre commune durant la Grande Guerre qui ensanglanta l’Europe au début du XXème siècle.
Je dis "notre commune" et non pas "nos communes", car nous avons souhaité nous associer à Treilles pour que ce travail rappelle qu’en 1914 – 1918, nous ne formions qu’une seule et même entité comportant deux sections.
Ce n’est qu’en 1935 que Treilles et Les Caves de Treilles ("Caves" plus tard) sont devenues deux communes distinctes... Je remercie pour ce travail Thierry Sauze et les membres de la commission "histoire" de Caves, ainsi que tous ceux qui ont apporté documents, matériel ou témoignages. Ce livret deviendra un élément de référence pour notre histoire locale.
Destiné à nos jeunes, aux nouveaux résidents et aussi à tous les passionnés d’histoire, il nous permettra de ne plus regarder notre monument aux Morts en pierre bleue de Lapalme comme une simple stèle : il est un hommage aux 31 enfants de nos villages qu’une guerre effroyable a brutalement fauchés en quatre années de combats...
Désormais labellisé par la Mission du centenaire de la Première Guerre mondiale, notre travail est reconnu au niveau national.
En effet, ce label "Centenaire" permet de distinguer les projets les plus innovants et les plus structurants pour les territoires et de figurer sur le programme national officiel des commémorations du Centenaire.
Mieux connaître notre passé pour construire ensemble un avenir meilleur, ce fut l’objectif de ce travail.... Puisse-t-il remplir cette mission !"
Gérard LUCIEN, maire de Treilles
"Savoir d’où l’on vient, pour décider où l’on va, cela pourrait résumer le contenu de ce livret historique.
Cette histoire, centenaire et commune, mais gravée sur deux monuments, c’est une première singularité pour un village qui comptait, en 1911, 435 habitants.... Cela présageait déjà la séparation à venir en 1935.
Ce travail de mémoire prouve, s’il en était besoin, que nos deux communes, séparées administrativement d’un côté, mais réunies d’un autre par les réalités territoriales sur de multiples dossiers (comme celui de l’enseignement via le SIVOS), savent se retrouver dans l’intérêt supérieur de nos populations...
Ce livret unique et commun est une nouvelle page de l’histoire que nous souhaitons transmettre, et il en ouvre sans doute un nouveau chapitre..."
« EXTRAIT DU LIVRE SI LEUCATE M’ÉTAIT CONTÉ »
Avec l’aimable autorisation de l’Association de Valorisation du patrimoine Leucat ois et de l’Archéo-cartographie Toulouse « La via Domitia, comme de nombreuses voies romaines d’importance, était jalonnée de bornes milliaires. De Narbonne au Summus Pyrenaeus, onze milliaires, ou morceaux de ces milliaires, ont été découverts. Les milliaires portaient la distance en mille romains comptée à partir du forum de Narbonne, le caput viae, où se situait le Capitole. Ce lieu correspond actuellement à la place Bistan, récemment renommée place du forum rappelant son passé romain. Ci-après, le descriptif des miliaires retrouvés sur ce parcours.
Il a été trouvé à Pont-de-Treilles, dans le lit du Rieu de Treilles en 1949. C’est le premier milliaire républicain découvert en Gaule. Il porte la plus ancienne inscription latine connue en territoire gallo-romain 30. La data-tion la plus probable est 118 av. J.-C 31.
Le milliaire se trouvait placé obliquement dans le lit du torrent, à peu de distance de la rive gauche et à une vingtaine de mètres en amont de l’actuel pont sur la D6009. Une enquête sommaire a permis de savoir que la borne avait été dégagée, plusieurs années auparavant, pendant la guerre, à la suite de l’exploitation du gravier de la rive gauche pour la construction des blockhaus allemands de la côte 32. Il a été taillé dans un grès à lumachelles d’ostracés 33. Il provient sans doute de la carrière antique des Bugadelles 34. C’est un cylindrique de diamètre allant 41 à 43 cm et d’une hauteur de 193 cm.
L’endroit se situe non loin de l’accès autoroutier de Leucate. Le milliaire est aujourd’hui conservé dans le musée archéologique du Palais des Archevêques de Narbonne.
Un manuscrit en date du 3 mars 1781 mentionne une borne seigneuriale entre Treilles, Lapalme et Leucate, dite borne de La Cave 35. Elle pourrait être le milliaire XX, déplacé en cet endroit proche de son emplacement d’origine, afin de jouer ce rôle ensuite abandonné.
Gaston Langoustet, vigneron à Caves, a vu une première fois le milliaire XX dans le Rieu de Treilles dès 1948. Il était bon bricoleur. Au printemps 1948, il cherchait du sable et des graviers pour faire du béton. Il est allé en prendre dans la carrière du Rieu de Treilles, ouverte par les Allemands, pour faire les blockhaus de Leucate en 1942-43. Sous 20 à 30 cm de sable et de cailloux, il trouve cette pierre gravée. Personne n’a voulu croire que c’était « romain » ou « ancien ». Les gens pensaient plutôt que c’était une pierre tombale. Un temps oublié on reparle de ce milliaire le 2 septembre 1949, alors redécouvert par Auguste Castan, propriétaire à Lapalme d’un terrain bordant le Rieu de Treilles à proximité du lieu de découverte du milliaire.
L’information se répand très vite. L’ancien maire de Caves, Auguste Broch, se rappelle que le premier à lire son inscription latine fut le curé du village, l’abbé Balmigère. Yves Solier alors tout jeune homme de 14 ans et déjà archéologue amateur bien avant qu’il ne fasse sa carrière en archéologie en est informé dès le 3 septembre par M. Pratviel, ami et directeur du cinéma de Sigean. Le 4 septembre, Yves Solier, déjà collaborateur passionné de l’archéologue Joseph Compardou, président des « Amis du vieux Sigean », visite les lieux. Le 5 septembre le milliaire est récupéré dans le lit du Rieu de Treilles. Le même jour, Yves Solier rencontre le Dr Alquier et ils font à leur tour, la lecture de son inscription révélant le nom Domitius Ahenobarbus et donc l’ancienneté exceptionnelle du milliaire. Restait à savoir sur les terres de quelle commune et finalement de quel propriétaire avaient été trouvée la borne milliaire car le Rieu de Treilles joue le rôle de limite entre les communes de Caves et de Lapalme.
Une enquête du 19 avril 1950 (fig. 13) conclut que la borne fut trouvée sur la partie gauche du lit légal du Rieu et donc sur le territoire de Lapalme sur des terres appartenant à Mme Veuve Castan et à son fils Auguste Castan, le terrain sur la partie droite appartenant à M. Vaills, alors maire de Treilles. Un procès qui eu lieu en 1953 a remis en cause cette conclusion.
C’est le « groupe archéologique cantonal de Sigean » qui a d’abord recueilli le milliaire dans son musée de la Grand’Rue, la maison Peyre-Razouls, avec l’autorisation du professeur Jannoray qui a fait la lecture définitive de l’inscription. Ensuite, la borne milliaire a été reçue par Narbonne, mais avec quelques difficultés de la part des habitants de Sigean qui souhaitaient la garder.
Un comble ! Le milliaire n’a été enregistré officiellement à Narbonne que par la suite, à l’arrivée d’Yves Solier devenu conservateur du Musée de Narbonne. Conduits par Yves Solier, Claude Philippe et Luc Lapierre sont allés sur le lieu exact de la découverte du milliaire, accompagnés de deux vignerons de Caves, Francis et Jean-Louis Bareda, eux-mêmes amateurs d’archéologie romaine. Le point GPS a été relevé ! Pour autant, il est peu probable que cet endroit soit l’emplacement du milliaire XX. Il a pu être mis là pour s’en débarrasser étant devenu inutile ou placé là pour jouer le rôle de borne seigneuriale si l’on se réfère au manuscrit de 1781.
Depuis la consécration de l'église de Caves à Sainte Germaine de Pibrac, selon le vœu fait par Emile Fontanel blessé sur le champ de bataille de Chenebier-Belfort (janvier 1871), le 15 juin, jour de la fête patronale de la sainte, est devenu en 1876 le jour de la fête votive de notre village.
Au siècle dernier, la Sainte-Germaine était surtout et avant tout une fête religieuse. La grand-messe, concélébrée par le curé de la paroisse et les prêtres des villages voisins, était l'occasion de célébrer la communion solennelle des enfants de Caves : les filles en robes blanches de mariées et les garçons en costume de marin et chapeau blanc étaient accueillis dans l'église décorée de fleurs, de buis et de genêt, et trop petite pour les nombreux paroissiens.
Les familles avaient sorti des armoires les habits du dimanche et les chapeaux, et on chantait l'hymne de Sainte Germaine avant de défiler devant l'autel pour embrasser le reliquaire. Après la messe, le clergé était invité au domaine Fontanel pour un grand repas de fête : argenterie, verres en cristal, desserts raffinés, café, liqueurs... il paraît que, après quelques verres, l'ambiance était très détendue !
Le 15 juin, les patrons accordaient un jour de congé à leurs ouvriers et les enfants n'allaient pas en classe : c'était la fête pour toutes les générations... une fête qui durait trois jours, avec un orchestre qui venait jouer à tour de rôle à la terrasse des deux cafés du village.
Auguste Broch se souvient que, le deuxième jour à midi, avait lieu la traditionnelle cérémonie du « lever de table » : sous la direction du cap de jovent – responsable des festivités – les jeunes et les musiciens faisaient le tour du village, pour taper à la porte de toutes les maisons et jouer le morceau de musique qui leur était demandé : une chanson à la mode, mais aussi « la Marseillaise » ou « l'Internationale » ! Puis les jeunes présentaient un plateau où chacun déposait sa participation financière, qui servait à payer l'orchestre.
Le soir, il y avait le grand bal sur la place centrale du village, la Place de la Liberté, et tout le monde dansait et s'amusait jusqu'au bout de la nuit.
En 1936, Caves s'est doté d'un grand Foyer municipal, et la fête
de la Sainte-Germaine a déménagé : désormais, c'est sur le parvis du foyer, décoré de guirlandes de buis, que les habitants du village se retrouvaient pour le bal.
Antoine Pi a des souvenirs très précis de cette période – sa jeunesse : « Pendant la guerre, les fêtes étaient interdites : les jeunes se réunissaient en cachette dans les maisons ou les remises pour danser autour d'un tourne-disque... Mais on s'est rattrapé à la Libération : c'est l'orchestre leucatois d'Emile Serre qui animait le bal.
Plus tard, l'orchestre Fabre a pris le relais, et, comme deux des musiciens étaient de Roquefort – dont le batteur qui avait un vrai talent de comique à la Fernandel - toute la jeunesse de Roquefort venait danser à Caves. Pour faire moins de dépenses, les musiciens étaient nourris et logés dans les familles. Il faut dire que, à cette époque, il n'y avait pas de subvention municipale pour financer les festivités et le bal était gratuit : on ne pouvait compter que sur le « lever de table », et il fallait constituer une cagnotte pour l'autre fête annuelle du village, la Saint-André du 30 novembre.
Comme le parvis du Foyer était encore en terre battue, en 1938, on a décidé de faire une piste en ciment : l'entreprise des frères Gomez s'est chargée du gros œuvre, mais les hommes du village leur ont donné la main pour transporter les matériaux ; mon père apportait l'eau dans un demi-muid sur une charrette.
L'année suivante, on a pu inaugurer la piste toute neuve, où nous, les jeunes, nous avions dressé des poteaux décorés de guirlandes de buis et de fanions.
Pendant les trois jours de la Sainte-Germaine, l'orchestre avait un planning chargé : une heure de musique et de danse vers 17h, puis une pause pour que les gens aillent prendre l'apéritif dans les cafés ; le bal reprenait vers 22h, et durait jusqu'au petit matin avec des pauses pour aller boire un coup !... Le lendemain, c'était dur de se lever pour aller travailler !
La fête s'est arrêtée pendant tout le temps de la guerre d'Algérie, parce que le cœur n'y était pas, mais elle a repris de plus belle après 1962 : désormais, c'est un Comité des Fêtes qui se chargeait de l'organisation avec un repas le soir pour tout le village et toujours un grand bal ; mais la fête ne durait plus qu'un jour, car ça coûtait trop cher... »
Gloria Langoustet se souvient que c'est Jean-Pierre Ortuno, élu conseiller municipal en 1977,qui eut l'idée d'organiser la fameuse « grillade de la Sainte-Germaine », comme cela se faisait dans les Corbières. Le menu était immuable : tomate et charcuterie, saucisse et côtelette grillées, fromage et glace... Les « grilladins » - Jojo, Fernand, Jean-Pierre, Georges et quelques autres – allumaient un grand feu de souquets et faisaient griller la viande sur des grilles soudées par Auguste.
Il y avait toujours beaucoup de monde : même les plus anciens, trop vieux pour venir au repas, payaient leur part pour participer malgré tout à la fête. En 2010 et pendant plusieurs années, des bénévoles issus de toutes les associations du village ont créé l'association Flora'Caves, qui a choisi le 15 juin pour faire une grande fête : floralies, vide-greniers, vide-jardins, et même une mémorable course en sac avec des vachettes... une façon originale de fêter Sainte Germaine !
Jusqu'à l'année dernière, la tradition s'est donc ainsi poursuivie, réunissant jeunes et vieux autour de la sainte patronne de Caves... Mais, ce 15 juin 2020, pour la première fois depuis bien longtemps, le village est resté étrangement silencieux : un méchant virus était passé par là, annulant bal, grillade et buvette... même la messe en l'honneur de Sainte Germaine, remplacée par une discrète cérémonie dans la chapelle.
Mais ce n'est que partie remise, bien sûr... L'an prochain, la fête du 15 juin sera encore plus belle que d'habitude !
L'Histoire proprement dite de CAVES est très récente.
Notre commune a été créée en 1935 par démembrement de la commune de Treilles dont elle n'était qu'un hameau.
Selon la version quasi unanime rapportée par les " Anciens ", qu'ils soient de Caves ou des villages alentours, ce hameau est né de la nécessité pour les viticulteurs de Treilles de posséder dans la plaine un endroit sûr, leur permettant d'entreposer l'ensemble de leur matériel nécessaire à la viticulture sans avoir à faire d’incessants et inutiles allers-retours entre le village et les vignes. Ils construisirent donc des caves.
D'ailleurs, et c'est toujours le cas aujourd'hui pour un très grand nombre de personnes, ce hameau était appelé " LES CAVES DE TREILLES ". Un bien joli nom.
Petit à petit et toujours dans le même but, les propriétaires de ces caves y ont aménagé, à l'étage, leurs appartements. C'est ainsi que la population a grandi au fil du temps pour devenir un village, puis enfin une commune qui a fêté en 2010 ses 75 ans à peine.
Cependant la vie à Caves est beaucoup plus ancienne. On y trouve une vieille forge, une église du 19ème siècle mais aussi et surtout une borne milliaire attestant du passage sur cette commune de la Via Domitia. Cette borne est conservée au musée de Narbonne mais une reproduction a été installée près de la Mairie.
Aujourd'hui, la commune est en plein essor. Non pas par l'accroissement du nombre de viticulteurs - qui eux, malheureusement, disparaissent doucement - mais par l'arrivée de nouveaux résidents originaires de diverses régions de France à la recherche d'une vie calme et agréable.
Tout au plus peut-on regretter aujourd'hui que ce nom, "Les Caves de Treilles", si joli pour un village vigneron, se soit transformé seulement en " CAVES ". Mais soyons rassurés, cela n'influe en rien sur le charme de ce petit village.
L'église de CAVES fut construite en 1872 et dédiée à Sainte Germaine de Pibrac. La future sainte était une pauvre bergère qui vécut au XVIe siècle et fut canonisée en 1867 pour avoir opéré plusieurs miracles.
Cette église est la concrétisation d'un vœu: en janvier 1871, le soldat Emile FONTANEL, âgé de 21 ans, fut grièvement blessé à la bataille de CHENEBIER-BELFORT et laissé pour mort dans la neige et le froid glacial; de longues heures s'écoulèrent avant qu'il ne fût secouru et c'est à ce moment-là qu'il fit le vœu de construire, s'il survivait, une chapelle, dans son hameau, chapelle qu'il dédierait à Sainte Germaine de Pibrac.
Son hameau, c'était LES CAVES DE TREILLES , qu'on appelait aussi "TREILLETTES". Il s'était constitué autour de la bergerie de Pierre SUZANNE, "L'ANGELOU", quand des habitants de TREILLES avaient construit leurs caves et leurs maisons dans la plaine, près de leurs vignes.
Le père d'Emile, Pierre FONTANEL, était le neveu de Pierre SUZANNE. Né à MAISONS, dans les HAUTES CORBIERES, où sa mère Elizabeth SUZANNE (sœur de Pierre) avait épousé Charles FONTANEL, il était descendu s'installer chez son oncle, riche et sans enfant. C'est donc lui, marié et père de deux enfants (Anne- Elizabeth, dite Zoé, et Emile ) qui fut l'héritier d'une coquette fortune…
Grâce à cet important héritage, Pierre FONTANEL put, dès 1872, aider son fils Emile à réaliser son vœu en faisant construire une église et non pas une simple chapelle, dédiée, bien sûr, à Sainte Germaine.
L'évêché de CARCASSONNE n'avait fait aucune difficulté pour la construction d'une église, mais ce n'est que le 1er juin 1875 que l'autorisation d'y exercer le culte fut accordée.
Les habitants des CAVES DE TREILLES avaient enfin leur église !!! Le 15 juin devint jour de fête patronale dès 1876.
Le 22 avril 1879, donation fut faite à la commune de l'église, avec tout ce qu'elle contenait.
En 1877, Emile FONTANEL y avait épousé Angèle GOUELL, fille d'un grand médecin perpignanais et ç'avait été le 1er mariage célébré dans l'église. On y célébra aussi, à peine 9 ans plus tard - hélas! - ses obsèques: déjà père de 4 enfants, dont un encore à naître, il mourut d'une septicémie à cause d'une nouvelle infection de ses blessures. Il avait accompli son destin !!!
Génération après génération, la famille FONTANEL a toujours pris part de manière très étroite à la vie paroissiale, et le 15 juin 1958, elle fit apposer dans la chapelle Sainte Germaine une plaque commémorative pour rappeler l'origine de l'église. Deux des fils d'Emile, Pierre et Léon, sa fille Germaine, ses petits-enfants et arrière-petits-enfants étaient là aussi et c'est l'un d'eux, architecte, qui fit les plans en vue de la réfection du clocher, en 1964.
Source : Françoise DEVIC, née FONTANEL, arrière- petite- fille d'Emile FONTANEL
Chapelle romane du X°siècle. Visite sur rendez vous en juillet et août. L'association les amis de saint pancrace s'occupe de l'entretien et de la rénovation
En savoir plus : http://la-palme.fr/
http://www.cap-leucate.com/?page=52
Couvrant une superficie de 400 hectares, le site est situé entre la partie nord de l'étang de La Palme et le bord de mer qui longe la voie ferrée. Les salins sont un produit de la longue histoire des rapports que l'homme a entretenus avec son environnement où nature et culture s'expriment avec harmonie. En juillet 2013, « Le Rouet » (station de pompage des salins), sur la plage, est remis en marche grâce à la société des Salins de l’Aude. En effet l’exploitation a repris du service.
Visite en petit train ou calèche.
En savoir plus : http://lapalme-tourisme.com/fr/nature/77-les-salins.html
Véritable et vaste parc animalier semi-naturel situé dans le Sud de la France, entre Narbonne et Perpignan, sur la commune de Sigean, sur la côte méditerranéenne, et en bordure des étangs qui jalonnent le littoral languedocien. Elle accueille plus de 3 800 animaux (plus de 2 000 oiseaux, 900 mammifères et 900 reptiles) sur 300 hectares. Au total, plus de 160 espèces y sont représentées.
En savoir plus : http://reserveafricainesigean.fr/
Mairie de Caves
4 Rue de la Mairie
11510 Caves